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- walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport |
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Julee Davenport
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| Sujet: - walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport Lun 4 Jan - 1:16 |
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 JULEE DAVENPORT
“ ON NE NAÎT PAS HOMME , ON LE DEVIENT
• nom, prénom davenport, julee
• âge dix-neuf ans
• vingt et un juin, savannah -georgie
• état civile célibataire
• groupe beautiful woman
• avatar ashley tisdale
“ DIFFICILE D'AIMER ET POURTANT JE M'AIME
pseudo et prénom - dreamer - justine
âge - quinze ans
où avez-vous trouvé le forum ? pub sur LTD; je suis Winnie Lynn.
votre avis à son sujet - Un mot: WOW !
présence sur le forum - Le plus souvent possible, au moins une fois par jours. -greek x) -
un dernier mot -
Dernière édition par Julee Davenport le Mar 5 Jan - 3:24, édité 9 fois
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Julee Davenport
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| Sujet: Re: - walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport Lun 4 Jan - 1:16 |
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“ SOYEZ SANS CRAINTE , LE TALENT N'EST PAS CONTAGIEUX
• pizza ou caviar
• vodka ou clope
• jour ou nuit
• hypocrite ou franche
• généreuse ou égocentrique
• extravertie ou réservée
• féministe ouf&m égaux
• entre amis ou nouvelle rencontre
• nutella ou fraise tagada
légende : mettez en gras votre choix
| • Tu te retrouves à faire équipe avec quelqu'un que tu ne peux pas voir , dans le jeu , serais-tu capable de tout faire pour le faire perdre et par conséquent perdre toi aussi ou préférerais-tu faire équipe avec cette personne et tout faire pour gagner ? Je préfèrerais faire équipe avec cette personne et tout faire pour gagner.
• Tu es coincé dans un ascenseur avec un mec/une fille très bizarre , limite terrifiant , comment réagis-tu ? S'il y a quelqu'un de bizarre dans l'ascenseur, c'est bien moi. Mon silene en terrifie plus d'un, donc. Mais si cela arrivait, je ferais comme je fais toujours, me taire.
• Jusqu'où serais-tu prêt à aller pour gagner le plus possible ? Pour gagner, rien, je suis ici pour retrouver celui que j'aime et pour cela, je ferai n'importe quoi. |
I dream to ...
• retrouvé l'homme de sa vie; sohëen livingston.
• être heureuse.
• chanter, que ce soit dans un bar où personne me connait ou reconnu..
• changer de vie.
• rencontrer john mayer.
Dernière édition par Julee Davenport le Lun 4 Jan - 16:08, édité 6 fois
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Julee Davenport
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| Sujet: Re: - walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport Lun 4 Jan - 1:17 |
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“ JE NE CROIS PAS EN DIEU , C'EST DIEU QUI CROIT EN MOI
Mon histoire commence mal, ce déroule mal
et ce terminera mal, si elle ne termine pas avec toi...
julee • « Il y a deux ans de cela, je quittais ma maison la tête haute. Croyant quitter cette enfer pour un monde meilleure. Je croyais que je ne pouvais vivre pire. Que peu importe ce que j'allais croiser en chemin, j'allais jamais vivre pire que ce que j'ai vécu. À dix-sept ans, je croyais avoir vu le pire, je croyais avoir versé assez de larmes, que rien de pire ne m'arriverait. Vous savez quoi? J'avais tord. Malgré ce que j'avais enduré, j'étais forte, j'avais encore de l'espoir, mais pas aujourd'hui. Cette jeune blonde qui laissait son passé derrière elle ne se doutait pas que le futur pouvait faire mal, pouvait briser les morceaux de son coeur qui n'avait pas encore été piétiné. Cette jeune femme, je ne la connais plus, elle est loin derrière avec mon sourire.
J'aimerais avoir eu raison. Vraiment. Si j'avais su ce qui m'attendait, je ne sais pas si j'aurais prit la peine de partir. J'en sais rien. Mes seuls moments de bonheurs m'ont été enlevé. C'était ça ou sa vie. J'ai préféré le perdre que de le tuer. Cette homme était la seule bonne chose qui m'était arrivé. Dans se bar - qui au départ été ma porte de secours à terminer par être ce qui m'a enlever le bonheur de la vie. - il est entré et en est ressorti avec mon coeur. Pourtant pour sa vie, j'ai du lui briser le coeur tout en brisant ce qui restait du mieux. »
VINGT TROIS JUIN DEUX MILLE HUIT.
J'arrivais à Miami la tête pleine de rêve. Le sourire arroche au visage, je n'étais plus la même. J'avais - je pensais avoir- passer à autre chose. J'avais prit tout mon argent garder depuis des années, prit le première avions que j'ai pu. Je ne fichais de l'endroit où j'allais atterrir, je voulais simplement fuir. J'avais fuit, mais après, je ne savais pas quoi faire. Arrivé là-bas, j'ai vite dépenser tout mon argent, simplement en mangeant et en payant ma chambre d'hôtel. je devais trouver un travaille et un appartement si je voulais recommencer ma vie.
J'ai finis par me trouver un emplois en tant que serveuse dans un bar de strip-tease. Je pouvais laisser cette vie derrière, mon père violent et alcoolique, il agissait comme ça à cause de moi qu'il me disait. Un soir, il m'avait même crier "c'est de ta faute si ta mère est morte! Si ça serait de moi, si j'avais le choix, ça serait elle que je garderai, pas toi ". Je l'ai cru longtemps, parfois, je le crois toujours. Dans ces jours plus noir, je crois même que non seulement mon père, mais le monde entier serait mieux sans moi. Ma mère est morte à ma naissance et mon père m'en voudra toute sa vie pour cela. Je ne peux rien n'y faire. Au lieux de affronté, je l'ai fuit. J'avais peur et en avais marre. Je croyais que tout irait mieux.
Un mois durant, tout était normale. J'avais trouver un petit appartement, j'avais assez d'argent, même pour dépenser un peu inutilement. Les clients était généreux quand on parlait des pourboires, surtout quand je prenais le temps de les écouter, rien de plus. J'écoutais leur problème et ça me laissais croire que je commençais une vie meilleure, que moi, plus jamais je ne verserai une larme. Pourtant, un soir alors que j'écoutais un des clients réguliers du bar me raconter sa vie, mon patron m'accrocha et me dit que ce soir-là, je montais sur scène. il ne parlait pas d'aller chanter. Non, il avait perdu une de ses danseuse et avait besoin d'une remplaçante. Si je n'acceptait pas, je perdais mon boulot. J'ai commencé par refuser froidement et la façon donc il m'a serrer le poignet ma rappeler père. J'ai figé de peur et il comprit que je n'allait pas refuser. Je ne pouvais dire à personne qu'il me traitait comme un animal. J'étais mineur et personne d'autre en ville voulait m'engager. Je n'avais pas de choix. Après ce soir, durant deux années consécutive, j'étais stripteaseuse. Je vendais mon corps pour de l'argent. Je vendais mon corps pour vivre. Vite, trop vite même. Mon regard vide et glacial refit surface. Mon sourire fit vite partie de mon passer et je ne vivais plus que pour survivre. Je n'essayais pas de sortir du lot, je ne voulais pas que les clients me remarque, j'avais besoin d'argent, mais malgré le fait que je me fasse "discrète" on me remarquait assez pour que je puisse faire un peu plus d'argent. Ma vie devint une routine qui me rendait malheureuse. Pourtant, il me faisait peur et contrairement à mon père, je savais qu'il pouvait me faire n'importe quoi. Mon père m'a blessé autant physiquement que psychologiquement, mais mon patron lui, il aurait pu me faire pire si j'aurais tenter de fuir, si j'aurai refuser de faire ce qu'il voulait.
J'ai toujours penser que les hommes qui venait ici n'avait pas de respect pour les femmes. Qu'ils nous utilisaient, nous les danseuse et toutes les autres femmes de cette planète. Pour la plupart d'entre les hommes qui ont passer sur mon corps, j'avais raison. Je croyais qu'il était comme eux le premier soir qu'il est venue dans ce bar. Il a coucher avec moi et comme avec tous les autres, j'ai simplement attendue qu'il termine ce qu'il avait a faire. Froide et glaciale, je ne disait rien, faisait ce qu'il demandait et attendait qu'il me dise de partir. Ce que je fis pendant plusieurs soir de suite. Ma curiosité a fini par prendre le dessus. Pourquoi revenait-il, du moins pour moi. S'il revenait tous les soirs et couchait à chaque fois avec des femmes différentes, je ne me serais pas pausé de question, mais là, il revenait pour moi. Je n'avais rien d'extraordinaire. Je ne faisais même pas semblant d'avoir du plaisir quand il était sur moi. Alors j'ai finis par lui demander pourquoi. Les premières paroles que je lui ai adressé à vrai dire. Je n'en dit pas plus. Il revint. Pendant au moins un mois, nous avons coucher ensemble sans dire un mot. Je ne dis pas que nous avons fait l'amour, non parce que je suis impolie, simplement parce que avoir des rapports sexuel avec un inconnue n'est pas "faire l'amour", c'est coucher, baiser ou profiter de quelqu'un. Rien de plus. Je finis après m'habituer à lui et le voir tous les soirs fini par ne plus être un fardeau, je n'étais pas heureuse avec lui, mais je n'étais pas mal non plus. Quand il m'a demander de l'épouser, je ne sais pas ce qui m'a prit d'accepter. J'imagine que c'était encore une façon de fuir, mais pendant un moment, une fraction de seconde, la jeune femme de dix-sept ans rêveuse à fait surface et j'ai cru pour une seconde fois que j'avais peut-être moi aussi droit au bonheur.
Encore une fois, j'avais eu tord. J'avais eu droit à goûter au plaisir d'aimer pour un cours moment. J'ai finis par vraiment l'apprécier. J'ai finis par croire que le marier n'était pas une mauvaise idée après tout et que autant que moi, lui aussi il voulait que notre bonheur. Il doit être la seule personne sur cette planète qui connait vraiment, mais vraiment tout sur mon passé, sur ma vie, sur la route que j'ai du emprunter pour finir dans ses bras. Tout c'était passer vite, trop vite, mais j'étais finalement heureuse. Je le croyais, je l'aimais et il m'aimait. L'amour avait finalement fait partie de ma vie et avait réussit à faire de mon regard glaciale un regard brillant de vie. Comme tous ce qui met arrivé de bon dans ma vie, ce bonheur à finit par ce terminer. Je n'ai aucune idée de comment ni pourquoi ce client voulait du mal à mon Sohëen, mais si je ne couchais pas avec lui. Sous le toit de mon amoureux, il le tuait. Tout est arrivé si vite. J'ai accepter, pour la vie de Sohëen et pour mon bonheur. Je ne savais même pas ce que j,allais faire par la suite. Si j'allais lui dire ce qui c'était passer. Si j'allais fuir, si j'allais mentir. Je ne savais qu'une chose, que mon regard glaciale était de retour. Il avait su, il nous avait surprit. Je n'avais même pas eu la chance de lui faire savoir la vérité, je n'ai même pas pu lui dire que je l'aimais. Il était partie dans une de ces émissions de télé réalité. Je n'avais pas le temps pour regarder ce genre d'émission, mais je devais aller le rejoindre là-bas, pour au moins, lui faire savoir que je ne voulais pas le faire souffrir, j'ai voulu le protéger.
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Ellwelynn Foster
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| Sujet: Re: - walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport Lun 4 Jan - 17:44 |
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JUSTIIINE  
tizz te va si bien 
bienvenuuuuuuue, merci pour ton inscription (:
je suppose que tu as terminé et puis jkiffe ta fiche à mort quoi 
te voila validée; HAVE FUUUN
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Julee Davenport
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| Sujet: Re: - walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport Lun 4 Jan - 18:17 |
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Owhh merci ,
- je dois être la seule personne au monde qui aime faire des fiches, haha!-
reserve moi un lien (;
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Joachim Y. Viccinaza
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| Sujet: Re: - walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport Lun 4 Jan - 19:43 |
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bouh j'ai même pas eu le temps de dire bienvenue avant ta validation (a)
BREF ;: donc : WELCOME
*ouais ouais ça sers à rien mais j'avais envi =p*
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Julee Davenport
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| Sujet: Re: - walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport Lun 4 Jan - 19:48 |
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c'est pas grave, c'est gentil de ta part. Merci (a)
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Anézia Bandlegas Hansen
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| Sujet: Re: - walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport Lun 4 Jan - 19:53 |
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- Joachim Y. Viccinaza a écrit:
bouh j'ai même pas eu le temps de dire bienvenue avant ta validation (a)
BREF ;: donc : WELCOME
*ouais ouais ça sers à rien mais j'avais envi =p*
merci pour ton inscription !
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Julee Davenport
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| Sujet: Re: - walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport Lun 4 Jan - 20:06 |
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merci a toi
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| Sujet: Re: - walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport |
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- walking like a one man army, fighting with the shadows in her head » • julee davenport |
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