Juliet Winston-Vreeland
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Date d'inscription : 31/12/2009
Age : 29
« Live your life for live your dream » © crédits: my dream:
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Sujet: those butterflies got to be murdered ♥ winston Jeu 31 Déc - 9:13 |
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Juliet Ludivina Winston-Vreeland© MYMZ ♥
“ ON NE NAÎT PAS HOMME , ON LE DEVIENT
• nom(s) et prénom(s) winston-vreeland, juliet ludivina • âge dix-neuf années • date et lieu de naissance née le 29 juillet 1990 à calgary, alberta. anglaise/américaine/canadienne • état civile célibataire • groupe beautiful woman • avatar nina dobrev
“ SOYEZ SANS CRAINTE , LE TALENT N'EST PAS CONTAGIEUX
• pizza ou caviar • vodka ou clope • jour ou nuit • hypocrite ou franc(he) • généreu(se) ou égocentrique • extraverti(e) ou réservé(e) • féministe/macho ou f&m égaux • entre amis ou nouvelle rencontre • nutella ou fraise tagada
| • Tu te retrouves à faire équipe avec quelqu'un que tu ne peux pas voir, dans le jeu , serais-tu capable de tout faire pour le faire perdre et par conséquent perdre toi aussi ou préférerais-tu faire équipe avec cette personne et tout faire pour gagner ? c'est toujours mieux de faire équipe et gagner, non ? j'veux dire, j'ai pas envie que cette personne m'en veuille à mort d'avoir été immature et l'avoir fait perdre. alors je crois que je ferais équipe avec cette personne et je ferais tout pour gagner. ça ne veut pas dire que je vais devenir amie avec la personne, par contre. (aa) • Tu es coincé dans un ascenseur avec un mec/une fille très bizarre, limite terrifiant, comment réagis-tu ? quand je suis nerveuse, habituellement, les battements de mon cœur doublent et mes mains deviennent moites. je regarderais la personne du coin de l'œil, méfiante. je taperais du pied, impatiente de sortir de cet ascenseur et m'en aller le plus loin possible de cette personne. • Jusqu'où serais-tu prêt à aller pour gagner le plus possible ? Stratégie, mise en scène, écraser les autres etc... écraser les autres ne sert strictement à rien, sincèrement. ça sert seulement à se faire détester et après une multitudes de conséquences naissent, ainsi les gens perdent. les stratégies sont toujours la meilleure solution. il faut également se faire des alliés, sans pour autant trahir les autres. il faut bien réfléchir aux camps qu'on choisi, aux personnes à qui on s'allie. quand on est le seul allié de la personne qui est détestée de tout le monde, on a peu de chances d'être apprécié, non ? |
I dream to ...
• pouvoir me convaincre que la mort de ma famille n'est pas de ma faute. • recouvrer la mémoire. • pouvoir rencontrer robert downey jr. et jeffrey dean morgan. • aller à hawaï avec ma grand-mère • être mariée dans 4 ans.
“ DIFFICILE D'AIMER ET POURTANT JE M'AIME
pseudo et prénom - wild.child or sweetheart / sara âge - 14 as où avez-vous trouvé le forum ? sur living the dream votre avis à son sujet - le design est à couper le souffle et le thème est génialissime présence sur le forum - 6/7 un dernier mot - nina dobrev rocks!
Dernière édition par Juliet Winston-Vreeland le Sam 2 Jan - 3:11, édité 17 fois
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Juliet Winston-Vreeland
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Sujet: Re: those butterflies got to be murdered ♥ winston Jeu 31 Déc - 9:13 |
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“ JE NE CROIS PAS EN DIEU , C'EST DIEU QUI CROIT EN MOI
DANIEL « Vous êtes toutes des salopes dans cette famille ! TOUTES ! Des putains de salopes ! »HONOR « Daniel, arrête enfin ! »DANIEL « Toi, tu me dis pas quoi faire, connasse. » Dit-il en la pointait de son index, bière en main, les yeux plissés.HONOR « Je te le jure, je n'ai rien fait. »DANIEL « Elles disent toutes ça, tu vois ma grande ? Et à chaque putain de fois, c'est la même chose. Pourquoi t'as pas marié mon frère au lieu d'me marier pour ensuite aller baiser mon frangin ? Non mais t'as pas honte ? »HONOR « Je peux pas avoir honte d'un truc que j'ai pas fait, bordel ! Pourquoi tu veux pas me croire ? »Alors que la dispute se fait de plus en plus bruyante et violente, Juliet tente par touts les moyens de couvrir ses oreilles. Elle n'a jamais supporté les jurons et les disputes, surtout quand ce sont ses parents qui se hurlent dessus. La pauvre fillette doit endurer ça tous les jours, maintenant. Elle sait que sa mère n'a rien fait. Elle passe ses journées à la maison à tenter d'élever sa fille avec le peu de choses que son mari peut rapporter après le travail, et elle n'aurait pas le temps pour aller faire des galipettes avec un autre homme. Mais son père a toujours été très jaloux, paranoïaque, avec une pointe de colère. Quant à sa mère, elle a toujours été une femme douce, aimante, gentille, simple et prête à tout pour l'homme qu'elle aime. Elle a tout abandonner pour cette ordure, et voilà ce qu'elle reçoit en retour. Et pourtant, même si elle s'obstine à croire qu'elle doit le quitter au plus vite avant qu'il commence à se servir de ses poings, elle se sent coincée. Si elle part, elle est perdue et libérée. Si elle reste, elle est perdue et malheureuse.DANIEL « Tu sais quoi, ma belle ? » Murmure-t-il, d'une voix presque effrayante, s'approchant dangereusement de Honor et l'attrapant par la nuque, la forçant à respirer l'odeur insupportable de la bière et de la mauvaise hygiène de Daniel. « Jamais j'aurais cru que j'aurais à faire ça un jour. »De sa poche, il sort une arme. Les cœurs de Honor et de Juliet ont cessé de battre, et leurs estomacs se sont serrées. Effrayées elles se sont mises à pleurer, perdues, trop fragiles et faibles pour se mesurer à Daniel. Soudain, d'un coup sec, il jette sa bière au sol, et de cette main libérée il envoie une gifle foudroyante à Honor. Elle reste sans voix, pétrifiée. Elle a plus peur que jamais, et elle sent que la fin est proche. Quant à Juliet, elle redoute le moment où il appuiera sur la détente et qu'elle perdra à jamais sa mère. Ses yeux bruns sont noyés de larmes et rougis, tout comme ses joues.DANIEL « Et toi, Juliet ? T'en penses quoi de l'infidélité ? C'est impardonnable, hein ? »JULIET « Je.. eh... »DANIEL « ALLEZ, RÉPOND PUTAIN. »JULIET « En tout cas Maman ne ferait jamais ça. »La rage se mit à bouillonner de plus belle dans les iris brunes de Daniel. Non seulement il était sûr et certain que sa femme avait mit sa fille de son coté, mais aussi il ne savait plus quoi faire. Tirer ? S'en aller et ne jamais revenir ? Trop de choses se bousculaient dans sa tête, et en plus il était sous les effets de l'alcool. Il baissa latête, lâcha Honor, qui s'écroula au sol. Il mourrait d'envie de se la tirer, cette fichue balle. Il voulait en finir, une fois pour toutes. Mais il détourna les yeux vers Juliet et il devina dans son regard qu'il ne pouvait pas partir maintenant. Il devait rester, pour elle. Pour Honor, également. Mais les choses allaient devoir changer.----------------------------------------------------------------------------TYRON « Hey, beauté. »JULIET « Hey, chéri. Tu vas bien ? »TYRON « Heum... écoute Juliet, on doit parler sérieusement, tu veux bien ? »JULIET « Hmm... je suppose que tu veux parler de nos quatorze mois ensemble, n'est-ce pas ? »TYRON « Euh... entre autres. » Admet-il, suivit d'un rire nerveux.JULIET « Qu'est-ce qu'il se passe ? T'es bizarre, tout à coup. »TYRON « C'est rien, t'inquiètes. Tu te rappelles, quand je t'ai dit que... oh, mais comment dire... »JULIET « Tyron, est-ce que tu as quelque chose de grave à me dire ? »TYRON « Grave pour toi, en tout cas. Écoute, ça ne peut plus marcher, nous deux. »JULIET « Au contraire, tout va tellement bien... ! »TYRON « Pour toi. Pas pour moi. J'ai rencontré quelqu'un. Écoute, je veux pas te faire de mal, mais je l'aime et elle m'aime aussi. »JULIET « Non mais tu t'entends un peu ? "J'veux pas te faire de mal, mais je l'aime et elle m'aime aussi". Non mais putain c'est quoi ça ? HEIN ? T'es qu'un enfoiré, Tyron. »Inutile de vous dire que la brunette s'est enfuie en courant, les larmes aux yeux et une boule au ventre,tandis que lui a envoyé un SMS à sa nouvelle dulcinée pour prévoir une chaude soirée.Plus tard, dans la soirée. Un jeune homme, grand, brun, avec les cheveux en bataille, bien dans sa peau, très heureux - tout le contraire de Juliet - faisait une promenade nocturne dans le quartier. Ce n'était pas dans ses habitudes, en fait il ne savait pas pourquoi il se promenait. En tout cas, ça allait lui apporter bien plus qu'être en forme. Alors qu'il s'approchait de chez lui, il entendit sangloter. Il s'arrêta brusquement. Il ne supportait pas d'entendre pleurer, surtout une femme. Il chercha à savoir d'où venaient les pleurs. Sans chercher trop longtemps, il trouva la jolie Juliet, anéantie. Son visage habituellement rose et joli était rouge et couvert de larmes. Elle n'avait plus la force d'avancer, elle était sûre d'avoir tout perdu. Il ne connaissait pas cette jeune fille, mais il n'allait pas la laisser là. Soudain, Juliet se rendit compte de sa présence, elle fronça doucement les sourcils, intriguée.JULIET « T'es qui ? »X « X. On se connaît pas du tout, mais je te laisserai pas dépérir ici toute seule. Si tu veux, tu peux passer la nuit chez moi. Je dormirai sur le canapé, t'inquiètes. »Il était si doux, si gentil. Sa voix avec quelque chose de tellement fort, il savait apaiser, et surtout, il avait tout de suite mise Juliet en confiance avec lui. Il lui sourit - son sourire étant absolument sublime - et elle le suivit. Arrivés, Juliet alla s'asseoir directement sur le canapé, et sans même prévenir, elle commença à déballer un tas de choses immondes sur Tyron. Elle le traitait de tous les noms possibles, elle récita les choses qui l'énervaient le plus chez lui, elle se mit à pleurer, puis en suite se remit en colère. Pas une fois, X ne l'interrompit. Il était attentif et l'écoutait. C'était tout ce dont Juliet avait besoin ce soir-là. Un confident, quelqu'un qui l'écouterait sans l'interrompre. Il savait maintenant pourquoi il était allé se promener, cette nuit-là. Parce que cette femme si spéciale allait arriver dans sa vie, et jamais elle n'allait en ressortir.----------------------------------------------------------------------------
2:47 AM.Driiiing. Driiiing. Le téléphone se mit à sonner soudainement, en pleine nuit. Juliet et X dormaient paisiblement, collés l'un à l'autre, serrés, pas prêts de se lâcher. Juliet sursauta, puisque le téléphone était placé juste à coté d'elle. X, contrairement à elle, était extrêmement dur à réveiller. Elle se redressa doucement et soupira. Elle attrapa le combiné et répondit, d'une voix pâteuse, goûtant son haleine pestilentielle :JULIET « Qui c'est ? Non mais bordel ! Vous savez pas qu'elle heure il est ? J'espère que c'est important ! »... « Vous êtes Juliet Winston-Vreeland ? »JULIET « Euhh.. ouais. Qui est-ce ? »... « Je suis l'agent Smith, de la police du Wyoming, je... »JULIET « Wyoming ? Pourquoi vous m'appelez ? Je vis au Canada, pourquoi vous m'appelez de là-bas, enfin ? »... « On m'a apprit que vous étiez une amie très proche de W. »JULIET « ... oui. Oui, effectivement. C'est... mon beau-frère. Il est arrivé quelque chose de grave ? »... « Je suis sincèrement désolé. Il était en route pour l'aéroport et un jeune adolescent soûl lui a foncé dedans. Il est mort sur le coup. »Un silence lourd et insupportable s'installa. W. Mort. Impossible.JULIET « L'adolescent... est-ce que... est-ce qu'il a survécu ? »... « Oui, Mademoiselle. »JULIET « Enfoiré. Je.. aurevoir. »Elle ne put en dire plus et fondit littéralement en larmes. Sa gorge se serra, tout comme son estomac. Elle l'avait perdu. La troisième personne qu'elle aimait le plus au monde était morte. Un accident ridicule et si banal, mais pourtant Juliet ne le considérait pas comme tel. Cet adolescent ne méritait plus la vie, désormais. Il avait prit celle d'un autre injustement, et lorsqu'il serait sobre, elle était certaine qu'il n'aurait aucun regret. Elle tentait tant bien que mal d'essuyer les larmes qui coulaient, mais rien à faire, ses joues se mouillaient de plus belle. X se réveilla, étrangement. Sûrement était-il sensible aux pleurs de sa dulcinée ? Bref. Il entendit Juliet pleurer et se redressa aussitôt. Son cœur se serra. Il détestait la voir souffrir. Il la serra contre lui.JULIET « X.. W est... »----------------------------------------------------------------------------
HONOR « Juliet, je ne sais pas trop, tu es sûre de ce que tu fais ? »JULIET « Mais oui, Maman. T'inquiètes pas, je l'ai fait souvent. Vous risquez rien, tous les trois. » ANNABELLA « Tu sais, Juliet... j'ai jamais voulu te le dire, mais j'ai toujours douté de tes talents de conductrice. » La cadette. Toujours aussi chiante, comme toutes les soeurs. JULIET « Toi la frangine, tu la fermes et tu prends des notes. » DANIEL « Moi ce que je veux, c'est que mon camion soit dans le même état après la ballade, comprit ? » JULIET « Oui, Papa. » fit-elle, en soupirant.
Juliet attacha sa ceinture et mit le contact. Elle ajusta précisément ses miroirs et et se tourna vers l'arrière, sortant de la cours de la maison. Première ballade en famille avec Juliet au volant. Elle était très fière. C'était une très dure année, il fallait l'avouer. Mais, peu à peu, Juliet commençait à retrouver le sourire, et elle réussissait graduellement à profiter de la vie. Cependant, il y avait encore du progrès à faire. Dix-sept ans. Elle se considérait désormais comme une femme. Elle était déjà prête à aller vivre sa vie, voler de ses propres ailes. Mais sa mère l'avait suppliée de rester une année de plus à la maison. Juliet mourrait d'envie d'aller emménager dans un appartement avec X, mais elle ne voulait pas décevoir sa mère.
Premier feu rouge. Elle freina doucement. Elle sentait que tout le monde était crispé, dans la voiture. Elle se mit à rire de bon coeur. Ils étaient drôles à voir, avec leurs yeux ronds, leurs mains serrées.
JULIET « Vous en faites pas ! » dit-elle pour les rassurer.
Elle prit la main de son père, assit sur le siège passager. Il réussit à lui sourire légèrement. Puis, le feu tourna au vert et Juliet devait remettre sa main sur le volant. Délicatement, elle appuya sur la pédale. Mais tout allait trop bien. Alors que le camion traversait l'intersection, on pouvait voir un gros camion de livraison, dont le conducteur était entre le sommeil et l'éveil. Malheureusement, il freina trop tard. Le camion emboutit le coté droit du véhicule, alors qu'un autre, derrière la voiture des Winston-Vreeland, tenta de freiner mais, sans ses pneus d'hiver, glissa et emboutit le derrière du véhicule. Tout ça se passa en une fraction de secondes. En sept secondes, trois personnes ont perdu la vie.
---------------------------------------------------------------------------- Tout ça ressemblait à un très, très mauvais rêve. Un rêve très douloureux. Court, éprouvant, et très douloureux. Mentalement comme physiquement. Juliet se redressa doucement, avec difficulté. Avec de petits yeux endormis, elle regarda autour d'elle. Ce n'est pas sa chambre qu'elle reconnut là. Elle était à l'hôpital. Alors... ce n'était pas un rêve. L'accident était... réel ? Impossible. C'était totalement impossible ! Confuse, Juliet chercha quelqu'un à qui se renseigner. N'importe qui. Tien, une infirmière. La gorge serrée, Juliet tenta tout de même de prononcer une phrase. JULIET « Madame l'infirmière ? » Heureusement, elle avait parlé assez fort pour qu'elle l'entende. L'infirmière vint vers elle. « Je... je m'appelle Juliet Winston-Vreeland... où est ma famille ? » INFIRMIÈRE « Ils sont morts. T'as besoin d'autre chose ? » Soudain, Juliet revint à elle. Le cœur palpitant, elle mit une main dans son front. Il semble que c'était juste un très mauvais rêve. Malheureusement, même éveillée, elle était dans un lit d'hôpital. Elle était tout à fait hors d'elle. Sa respiration accélérait, les battements de son cœur également. Étourdie, plus tout à fait elle-même, elle se releva. Enlevant touts ces fils, ces tuyaux, elle se redressa et marcha à la recherche de réponses. Elle ne se souvenait d'absolument rien, et c'est ce qui lui faisait le plus peur. Elle croisa une infirmière qui vint vers elle. INFIRMIÈRE « Mais enfin, Mademoiselle Winston ! Retournez à votre chambre ! » JULIET « Ma famille ! Où est ma famille ?! » INFIRMIÈRE « Ils... Ils n'ont pas... » JULIET « Non... » INFIRMIÈRE « Toutes mes condoléances. » JULIET « Non !! »
Dernière édition par Juliet Winston-Vreeland le Ven 1 Jan - 6:14, édité 1 fois
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