Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
BIENVENUE SUR TAKE ME OUT ! ♥️ Toute l'équipe vous souhaite une très heureuse année 2010 ♥️ et vous annonce le retour de TMO le 03 Janvier 2010 ♥️ Rejoignez nous vite (a)
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

 

 Angel A. Belford pourtant pas si ange que ça / 100%.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Auteur Message
Angzelus A. Belford

Angzelus A. Belford

Messages : 3
Date d'inscription : 31/01/2010
Age : 31


« Live your life for live your dream »
© crédits: FLoW
my dream:

bazaar dated

:

Angel A. Belford pourtant pas si ange que ça / 100%. Vide
MessageSujet: Angel A. Belford pourtant pas si ange que ça / 100%.   Angel A. Belford pourtant pas si ange que ça / 100%. EmptyDim 31 Jan - 1:21

Angel A. Belford pourtant pas si ange que ça / 100%. 01gaspard

ANGZELUS ALEKSEI BELFORD
© ?

      ON NE NAÎT PAS HOMME , ON LE DEVIENT

          nom et prénom Angzelus est un prénom hors du commun, n'est-ce pas ? Pourquoi donner un prénom si étrange à son enfant ? Abrégé, cela donne Angel, soit Ange en français. Angzelus serait donc un petit ange ? A en écouter les dires de sa mère il en est bien un, tout prend donc un sens, cet être si banal était le petit ange que sa mère attendait depuis si longtemps. Son second prénom est Aleksei. La mère de notre jeune homme est russe, il n'est donc pas étonnant de découvrir que son second prénom est d'origine Russe, de plus, il appartenait à son grand-père, un homme respectable et respecté. Enfin, venons-en au nom de ce jeune homme. Il est désigné par Belford. Forte connotation française, non ? Et bien oui, la père d'Angel est bel et bien français !
          âge Angel a vu pour la première fois la lumière du jour il y a à peu près 20 ans.
          date et lieu de naissance né le 21 octobre 1990 à Paris.
          état civile Contre toute attente ce beau jeune homme est célibataire mais cela ne veut pourtant pas dire qu'il a le coeur libre !
          groupe Handsome man please
          avatar le fabuleux... Gaspard Ulliel ! (avouez, vous ne vous y attendiez pas !!)


      SOYEZ SANS CRAINTE , LE TALENT N'EST PAS CONTAGIEUX


        pizza ou caviar
        vodka ou clope
        jour ou nuit
        hypocrite ou franc
        généreux ou égocentrique
        extraverti ou réservé
        féministe/macho ou f&m égaux
        entre amis ou nouvelle rencontre
        nutella ou fraise tagada


          Tu te retrouves à faire équipe avec quelqu'un que tu ne peux pas voir , dans le jeu , serais-tu capable de tout faire pour le faire perdre et par conséquent perdre toi aussi ou préférerais-tu faire équipe avec cette personne et tout faire pour gagner ?
          Auncun des deux. Je ne fairais pas tout pour gagner, ça c'est sur. Pourtant je ne fairais pas tout pour perdre non plus. Je participerais un minimum.
          Tu es coincé dans un ascenseur avec un mec/une fille très bizarre , limite terrifiant , comment réagis-tu ?
          Je l'ignore tout simplement, c'est vrai, chacun fait ce qu'il veut !
          Jusqu'où serais-tu prêt à aller pour gagner le plus possible ? Stratégie , mise en scène , écraser les autres etc...
          Oula ! C'est pas trop mon truck ça. Disons, je serais prêt à participer au jeu, mais je ne suis pas quelqu'un qui aime écraser les autres pour son intérêt personnel.


    I dream to ...
      vivre de musique. J'aimerais être engagé comme guitariste sur une tournée d'un artiste ou autre. Je ne veux pas être sur l'avant scène, non, je veux juste montrer mon talent (aussi minime qu'il soit) et accompagner quelqu'un dont j'aprécie la musique.
      parfois j'aimerais revenir en arrière. Si elle n'avait pas traversé la ruen elle ne serait pas morte.
      J'aimerais me réveiller dans un monde moins hypocrite sans cette politique de consommation qui nous bouffe la vie.
      je rêverais de... revoir une personne, rien qu'une fois.
      j'aimerais rencontré une personne morte du genre Jimy Hendrix ou Freddy Mercury histoire de parler avec eux !



      JE NE CROIS PAS EN DIEU , C'EST DIEU QUI CROIT EN MOI


Je ne suis pas beau – bien que la beauté soit très subjective -, je ne suis pas prétentieux –du moins, je l’espère-, je ne suis pas doué pour parler en public, je n’aime pas exposer ma personne et ma vie au gens inconnus pour moi, je ne cherche pas la gloire et encore moins une toute petite popularité chez des personnes que je ne connais même pas, dont j’ignore même l’existence. Alors pourquoi est-ce que je participe à cette émission ? Sérieusement, moi enfermé dans cette villa en plein cœur de la Grèce avec des personnalités toutes plus contradictoires les unes que les autres, ça ressemble à une grosse blague. Pourtant j’y suis, moi, le gamin des rues, le garçon qui ne sait pas quoi faire de sa vie, qui est perdu et vie au jour le jour. Incroyable, non ? Mais pour mieux comprendre mon choix, je vous propose un petit retour en arrière…

    Je suis né un soir, vers 10 heures il me semble. Il faisait très froid d’après ma mère en ce 21 octobre. 1990. Paris n’est pas réputé pour ses grandes chaleurs, de plus, ma mère a accouché dans la voiture. Incroyable non ? La première chose que j’ai vu en ouvrant les yeux pour la toute première fois, et bien, c’est la banquette arrière d’une vieille Peugeot datant des années 70. Mon père était français et il portait bien son prénom : Louis, 100% français. Il venait d’une famille un peu bourgeoise, il parait que nos ancêtre faisait même partie de la cours il y a bien longtemps. Pourtant Belford, ça ne fait pas si bourgeois que ça, non ? Bref. Ma mère était une jeune russe faisant ses études à Paris. Elle était tout ce que l’on attendait d’une russe, physiquement : grande, blonde, de grands yeux bleus, une dentition parfaite, une bouche pulpeuse, des formes généreuses et sensuelles, un accent prenant plaisir à rouler les r et à lui donner une sensualité encore plus grandissante. Autant vous les dire tout de suite, je ne tiens pas beaucoup de ma mère, à part les yeux peut-être… Mon père et ma mère se sont rencontrés à l’université, le coup de foudre parait-il. Je n ‘ai jamais posé beaucoup de question quant à leur rencontre. Ils s’installèrent ensemble au bout de quelques mois et un an plus tard, me voila tachant la banquette marron de la voiture de mon père. Mon prénom fut l’idée farfelue de ma mère. Elle était originale comme femme et mon prénom en est bien la preuve : Angzelus. Ma mère persévérait pourtant à me nommer Angel, disant que j’étais son petit ange tombé tout droit du ciel afin de lui rendre l’existence plus belle et de lui permettre de gouter à un amour dont jamais elle n’avait eu le loisir de gouter auparavant. Et mon père dans cette histoire ? Il m’aimait oui, ça c’est sûr, mais peut-être pas autant que ma mère. J’étais le fi-fils à sa maman qui faisait tout pour ne voir qu’un petit sourire sur ses lèvres parfaites. J’avais 4 ans lorsque l’on déménagea de Paris pour l’Angleterre. Mes parents avaient fini leurs études, mon père avait obtenu un poste très convoité d’avocat à Londres, et ma mère était femme au foyer. Elle avait fait toutes ces années d’études pour rien, et quand je lui demandais si elle ne regrettait pas, elle semblait outrée et me répondait que si elle n’avait pas mis les pieds dans cette université, elle n’aurait pas rencontré mon père et je ne serais jamais venu au monde, et son moi, son monde n’était rien. D’un côté, ma mère ne cessait de me mettre en valeurs, et de l’autre, mon père m’apprenait la réalité de la vie qui est loin d’être facile. Mon père était dur, et je l’en remercie, sinon que serais-je devenu ? Un grand garçon encore accroché aux chevilles de sa mère qui l’idolâtre ? Pathétique. A l’école je n’étais pas mauvais, un peu perdu parmi toutes ces langues que je connaissais : le français, l’anglais et le russe. Mais j’étais un gamin gentil, respectueux avec des difficultés mais travailleur d’après mes professeurs. Mon père me poussait à dépasser mes limites à devenir excellent, ma mère elle, était la douceur qu’il me fallait. Vous savez, comme lorsque vous êtes petits, vous tomber, vous vous écorchez le genou, vous pleurez et votre maman vient vous faire un gros câlin en vous donnant un éclair au chocolat pour oublier vos malheurs ! Et bien ma maman était mon éclair au chocolat.

    J’ai dix ans, on déménage. Encore. Cette fois, destination la Grèce. Moi qui avais l’habitude des grandes villes après Paris et Londres, me retrouve dans un petit village paumé. Une nouvelle langue. Une de plus. De toute façon j’ai l’habitude. Je suis un petit garçon très équilibré : gentil, respectueux, futé, sage bien qu’un peu bagarreur. Je déteste ce village. Il n’est rempli que de vieilles personnes toutes plus proche de la mort. Je suis méchant. Je ne leur dit pas ce que je pense mais je le pense. Puis les mois passent et plus les jours défilent, plus ces vieux qui ne m’aspiraient que de l’ennui deviennent des personnes capitales. Je me prends d’affection pour certains d’eux. Ceux sont un peu les grands-mères et grands-mères que je n’ai jamais eues et que je ne connais pas. Je travail bien à l’école, je me fais quelques amis qui malheureusement n’habitent pas mon village. Ici tout ce sait alors quand à l’école j’embrasse une fille pour la première fois, Marilyn, tout le monde est au courant. Je grandis, sans réel but dans ma petite vie. Jusqu’au jour où, Marcus, mon voisin, un homme qui avoisinait les 90 ans me fait cadeau d’une guitare. Il me dit que je suis un brave petit et que je mérite un présent. Je l’accepte, silencieux. La seule chose gentille que j’ai du faire pour lui ce devait être un simple bonjour. Pourtant il m’offre cette guitare. Une vieille guitare folk aux cordes usées et désaccordées, au bois vernis vieillit par le temps et les rayons du soleil. Pourtant, malgré ses défauts, ses cordes rosées par la rouille, son vernis s’écaillant, je l’aimais cette guitare. Je jouais d’abord quelques petites mélodies basiques. Par la suite, j’allais à la bibliothèque chercher des livres, des tablatures, des manuels de solfège. Passionné, je dévorais tous ces bouquins et me perfectionnais dans ce fabuleux instrument. Mon père voulait que je sois intelligent et sportif, ma mère voulait simplement mon bonheur. C’est à ce moment que les disputes commencèrent. Une petite dispute pouvait vite se transformer en une énormité. Le principal sujet s’était moi. Mon père reprochait à ma mère de me porter trop d’intention. Ma mère, au contraire, reprochait à mon père de ne pas assez s’occuper de moi. Moi, dans tout cela, je ne savais quoi penser. Je n’étais qu’un gosse d’une douzaine d’année perdu et complexé par ma personne.

    J’avais quinze ans. Cette période là est surement l’une des plus importantes de ma vie. Une nouvelle famille emménageait dans le village. Bien sûr, tout le monde le savaient des moi avant qu’elle n’arrive. De grosses rumeurs parcouraient les rues, moi, je m’en foutais. Comme toutes les après-midi, après les cours, j’allais me poser tranquillement dans le parc, le seul parc du village. C’était mon moment à moi, le seul moment où j’étais vraiment seul. Souvent je m’allumais une cigarette, apaisé et discret. Mais ce jour là, une personne était là, brisant mon petit train-train habituel. Elle était de dos face à un panneau. Une anglaise, du moins, c’est ce que je pensais à en voir sa façon de s’habiller et la langue dans laquelle elle marmonnait. Je m’approchai et l’aida. Elle est bien anglaise. Elle s’appelle Meywheen mais préfère qu’on l’appelle Mey ou Cleo. Elle est simple, naturelle et surtout jeune. Je lui fait visiter le village, mes endroits favoris. Je veux qu’elle s’y plaise. La solitude commençait à me peser et auprès d’elle je me sentais complet. Vite, elle devînt ma meilleure amie. Je l’aimais, vraiment. Une journée passée sans elle devenait une vraie torture. Comment ai-je pu devenir aussi dépendant ? Je ne sais pas. Ca faisait deux bon mois que nous nous connaissions la première fois que je suis allée chez elle. Ce fut ce même jour que je rencontrai pour la première fois sa sœur, Edwige. Une beauté pareille, j’aurais du la voir plus tôt, non ? Evidemment, Edwige et moi on ne tarda pas à se mettre en couple. Ma vie avait enfin un sens, ou du moins autre chose que la guitare. J’étais vraiment heureux. Auprès de moi j’avais ma copine, Edwige, et sa sœur soit ma meilleure amie, bien que ce mot soit trop faible, Mey. Je les aimais autant l’une que l’autre.

    Dix huit ans. Toujours en couple avec Edwige, ne peux toujours pas me passer de Cleo. Pourtant ma vie n’est pas si belle que ça : Je passe mon diplôme cette année. Je ne sais pas quoi faire et n’a pas de projet d’orientation tout en ne pouvant pas me résoudre à partir de ce village, loin d’Edwige et Mey. Ceci est loin d’être au goût de mon père qui se dispute de plus en plus avec ma mère qui tente de prendre ma défense. Autant vous le dire, les repas de famille, ce n’est pas la joie ! De plus, ma relation avec Edwige n’est pas au beau fixe. On enchaine dispute sur dispute. Pourtant je l’aime, mais on s’engueule pour des conneries. On croirait mes parents, ça me dégoute. Mey elle, est restée telle que je l’ai rencontré. Plus les années ont passé plus je me suis rendu compte de ce qu’elle était : un petit trésor qu’il fallait protéger. Ce jour là, un jour fatidique, je me trouve dans la rue avec Edwige. Les gens nous observent en train de nous disputer. Je ne veux pas aller à son concert. Un examen important est prévu pour la semaine d’après, je préfère réviser, de plus, je me vois mal aller demander à mon père une permission pour sortir. Edwige, elle, veut aller à ce concert. Voila la raison de notre dispute. Mey est là. J’évite son regard. Pourquoi ? Je sais que je la déçois. Je ne veux seulement pas le voir dans ces prunelles. De plus, sa situation est vraiment mauvaise, partagée entre sa sœur et son meilleur ami. L’un des autres sujets de disputes avec Edwige dont Mey ignore l’existence. Elle me reproche de passer trop de temps avec sa sœur, de lui accorder plus d’importance. Bien sur, c’est n’importe quoi ! Mey est une personne formidable, je refuse de m’éloigner d’elle par amour pour Edwige. Puis, alors qu’elle hurle, contre moi, contre sa sœur, elle recule, pas à pas. Je revois cet instant chaque fois que je ferme les yeux. On aurait pu crier, lui crier de s’arrêter. On aurait pu lui attraper le poignet et la tirer vers nous. Mais non, on n’a rien fait de tout cela. On la laissait traverser et se faire renverser. Un choc. Un reflexe, me jeter sur elle pour voir comment elle allait. Plus rien n’avait d’importance : les cours, les disputes de mes parents, l’avenir. L’avenir c’était elle, et elle était en train de mourir, là dans mes bras. Je l’aimais, elle ne pouvait pas partir me laisser là. Je criais, je lui criais de rester, de rester avec nous, de rester avec moi. Mais elle était partie…


Une décision prise par ma mère. Je ne vois plus de monde, je m’enferme, je ne fais rien, je ne mange rien. « Tu participeras à cette émission ! ». Décision draconienne. Voila pourquoi aujourd’hui je me retrouve là dans cette foutu baraque. Parce que je n’ai rien d’autre pour me sortir de la déprime. Peut-être voir du monde me soignera ? Peut-être pas !

      DIFFICILE D'AIMER ET POURTANT JE M'AIME


    pseudo et prénom -
    Debby, un prénom (très original -_-' ) inscrit sur ma carte d'identité & qui me sert de pseudo aussi !
    âge - 17 ans !
    où avez-vous trouvé le forum ? sur un autre forum haha !
    votre avis à son sujet - sans vouloir vous vexer ce forum est un peu... MAIS NON IL EST GENIAL ! Le design est superbe (ces couleurs flashies : J'ADOOOORE & les images : MAGNIFAIIIQUE) le contexte est du tonerre et j'aime mon perso et la personne qui l'a créé !
    présence sur le forum - malheureusement pour moi, mon ordinateur se voit exclu d'internet ce qui est une épreuve dure à vivre jour après jour ! Mais attention mon super papa est là et me passe son ordi le week-end donc ma présence sera exclusivement le week-end ainsi que de petites visites assez brèves la semaine ! voila j'ai fini de raconter ma vie -_-'
    un dernier mot - euh... n'abusons pas des bonnes choses, hein ? Si je commence je ne vais plus m'arrêter et il serait dommage de vous perdre à la fin de ma présentation, vous avez déjà lu jusqu'à la fin (merci c'est tellement beau) enfin bref jme tais -_-' bibiz'
Revenir en haut Aller en bas
 

Angel A. Belford pourtant pas si ange que ça / 100%.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum: Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: « ONCE UPON A TIME » :: time to introduce yourself -
(c) prom.queen , delightful , greesy up and crazy-bidule ♥ Optimisé sous Mozilla Firefox
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit